En cette fin octobre 2025, alors que les cicatrices des manifestations du 8 mars dernier rougissent encore, le Collectif Némésis – ces lanceuses d'alerte intrépides qui osent nommer l'innommable : l'immigration incontrôlée comme vecteur de violences sexistes – subit une énième volée de crachats venimeux.
Des associations féministes "mainstream", ces tartuffes intersectionnelles gavées de subventions publiques, et des politiques d'ultra-gauche, ces ayatollahs du multiculturalisme forcené, s'unissent dans un lynchage médiatique et physique qui pue l'hypocrisie à plein nez. Bloquées dans des squares parisiens, harcelées en ligne, traitées de "racistes" par celles qui ferment les yeux sur les viols collectifs de Cologne ou les meurtres comme celui de Lola, les militantes de Némésis incarnent le courage que la "grande famille" féministe abhorre.
Une meute qui préfère dévorer ses propres pour ne pas mordre la main immigrée qui les nourrit idéologiquement.
Rappelez-vous le 8 mars 2025 : place de la République, ces jeunes femmes en tailleur impeccable, brandissant des pancartes pour les victimes de viols "importés", se font violemment expulser d'une marche qu'elles voulaient rejoindre. Bloquées dans un square adjacent par des "sœurs" hystériques de collectifs comme Osez le Féminisme ou Nous Toutes, elles essuient insultes, crachats et même jets de projectiles. "Identitaires grimées en féministes", hurle Télérama, comme si pointer du doigt les violeurs d'origine maghrébine était un crime contre l'humanité.
Et l'ultra-gauche ? LFI et ses affidés, via des figures comme Panot ou Soudais, applaudissent en coulisses : "Elles n'ont rien à faire ici", clament-elles, transformant une manifestation pour les droits des femmes en kermesse anti-blancs.
Résultat ? Des militantes de Némésis rouées de coups, filmées en pleurs, pendant que les "féministes progressistes" posent pour les caméras avec leurs badges arc-en-ciel. Sororité, mon œil : c'est de la meute totalitaire, prête à lyncher quiconque ose briser le dogme "pas d'amalgame".
Depuis sa création en 2019, Némésis – ce collectif identitaire assumé, qui ose lier féminisme et souveraineté nationale – est la bête noire des Binoche et Haene, ces élues et intellectuelles qui préfèrent théoriser le "patriarcat blanc" plutôt que d'affronter les stats glaçantes : 80 % des viols en bande impliquent des auteurs étrangers, selon les chiffres du ministère de l'Intérieur qu'elles balaient d'un revers de main woke.
Prenez l'affaire Lola, cette gamine de 12 ans égorgée par un migrant algérien en 2022 : Némésis est la seule à soutenir la famille, jour après jour, au tribunal comme dans les médias. Et que font les "vraies" féministes ? Silence radio, ou pire, minimisation : "Ne stigmatisez pas les migrants", geignent-elles sur X, où des comptes comme @AsherahColl osent accuser Némésis de "clientélisme" pour oser défendre une victime française.
Quant à l'ultra-gauche – ces députés insoumis qui votent contre l'expulsion automatique des violeurs étrangers –, ils vomissent sur Némésis comme sur une tache à leur tableau intersectionnel. Bruno Retailleau les salue pour leur "féminisme identitaire", et voilà que 20 Minutes les traite d'"imposture".
Imposture ? Non : c'est la gauche qui trahit les femmes au nom d'un multiculturalisme qui les viole en série.
Sur les réseaux, c'est open bar : Meta, sous pression des associations labellisées par Aurore Bergé, ferme les comptes de Némésis et de ses porte-parole comme Alice Cordier, accusées de "haine en ligne" pour avoir partagé des témoignages de victimes brésiliennes ou juives agressées par des "diversités".
L'Humanité, porte-voix de l'extrême-gauche, titre sur le "cyberharcèlement" que Némésis provoquerait chez les élues de gauche – inversant cause et effet pour victimiser les bourreaux.
Et sur X ? Des gauchistes anonymes moquent : "Des féministes au collectif Némésis ? Elles ont dû se tromper", pendant que des soutiens comme @LLezard54636 récoltent des milliers de likes pour leur bravoure.
Ces attaques ne sont pas du débat : c'est de la censure pure, une tentative d'effacer toute voix dissonante dans le chœur des pleureuses subventionnées.
Pire que les crachats : la division qu'elles sèment. Des collectifs comme la Fédération LGBTI+, présidée jadis par des figures trans comme Stéphane Nicot, dénoncent Némésis comme "xénophobe" tout en ignorant que leurs théories du genre diluent le combat biologique des femmes.
Le Monde les qualifie d'"identitaires grimées", oubliant que ces "grimées" sont les seules à squatter les tribunaux pour des Jhordana ou des Lola, pendant que les "authentiques" défilent contre un "système" imaginaire.
L'ultra-gauche, de Mélenchon à ses clones, préfère parasiter les marches LGBT ou féministes pour y semer la zizanie, accusant Némésis de "bordéliser" – projection flagrante d'une stratégie qu'elles maîtrisent.
Ce n'est pas du féminisme que crachent ces associations et politiques d'ultra-gauche : c'est du fiel idéologique, une rage de classe contre celles qui osent prioriser les victimes françaises sur l'autel du grand remplacement. Némésis, avec ses dons modestes et ses actions de terrain, expose la pourriture : un féminisme de salon qui sacrifie les chairs à vif sur l'autel du politiquement correct. Tant qu'elles cracheront, tant que des Mathilda ou Alice seront traitées en parias, le vrai combat des femmes – contre les barbares importés et les hypocrites domestiques – continuera d'avancer.
la guerre des féminismes ne fait que commencer.