Suite à nos révélations sur des pratiques internes à la Semsamar et sa plainte pour diffamation contre notre rédaction, certaines de nos sources semblent vouloir revenir sur leurs témoignages. Intimidation, pression, subornation ? Que cache ce revirement de posture ?
Des employés rapportent des "pressions insidieuses" (avenants de contrats imposés, retards dans les promotions) et des intimidations directes pour les dissuader de dénoncer les dysfonctionnements. Cela inclut une "chasse aux sorcières" initiée par d'anciens dirigeants comme Marie-Paule Bélénus Romana et poursuivie par des cadres actuels, avec mise au placard, stigmatisation et isolement des dissidents par peur de représailles professionnelles.
Un "harcèlement moral et syndical" est évoqué, favorisant un climat de peur où les critiques sont "montrés du doigt, isolés, rendus invisibles". Des primes ou avantages sont offerts aux "moutons dociles" pour maintenir l'allégeance, tandis que les réfractaires risquent d'être "poussés à la porte".