En ce 7 octobre 2025, la France politique ressemble à un théâtre d'absurde dirigé par un soliste essoufflé : Emmanuel Macron.
Isolés de ses alliés, miné par une impopularité record à 15-21 % selon les sondages les plus indulgents, le président de la République s'accroche au pouvoir comme un naufragé à une planche pourrie. Lâché par ses propres troupes, critiqué vertement par Gabriel Attal et Édouard Philippe – ce dernier appelant même à sa démission –, Macron n'est plus qu'une ombre solitaire sur les quais de Seine, symbole cruel d'un règne qui s'effondre en direct. Mais au lieu de tirer sa révérence avec un semblant de dignité, il brandit la menace d'une nouvelle dissolution comme un chantage puéril, forçant LR et le PS à transiger sous la contrainte. Décryptage impitoyable d'un acharnement qui n'est plus de la stratégie, mais de la folie égoïste.
Rappelons les faits : depuis la dissolution hasardeuse de juin 2024, qui a transformé l'Assemblée en champ de ruines, Macron enchaîne les gouvernements comme on change de chemises sales. Le dernier en date, celui de Sébastien Lecornu nommé il y a à peine un mois, s'est effondré en 24 heures, laissant planer le spectre d'une énième crise. Jusque dans son propre camp, les critiques fusent sans filtre : Attal dénonce un "sentiment d'acharnement à vouloir garder la main", tandis que le JDD titre sans ambages sur la "faillite du cercle de la raison". Même Franz-Olivier Giesbert, dans Le Point, fustige un Macron "intelligent mais qui n'apprend jamais", responsable d'un chaos qu'il a lui-même semé.Cet isolement n'est pas un accident : c'est l'aboutissement d'une présidence bâtie sur l'arrogance. Macron, l'ex-banquier Rothschild propulsé par les élites financières, a toujours méprisé le Parlement, les syndicats et le peuple. Résultat ? Une dette colossale de 3 350 milliards d'euros – troisième plus élevée d'Europe après l'Italie et la Grèce –, un budget en lambeaux et des réformes sociales qui allument des brasiers partout où elles passent. Sur X, les observateurs internationaux comme Alexeï Pouchkov ne mâchent pas leurs mots : "Macron échoue lamentablement, son taux d'approbation à 15 % est l'un des plus bas de l'histoire récente de la France". Et pendant ce temps, le Rassemblement National de Marine Le Pen caracole en tête des sondages, symbole d'un rejet viscéral du macronisme.
Face à l'impasse, que fait notre Jupiter ? Il agite le spectre d'une nouvelle dissolution, comme si c'était une baguette magique plutôt qu'un poison lent. Cette menace, brandie pour "forcer LR et le PS à transiger", n'effraie plus personne : elle n'a fait que creuser le fossé avec les oppositions et accélérer la paralysie législative. La crise politique française fait les choux gras de la presse européenne, qui pointe du doigt "la responsabilité du président" dans ce désastre. Sur les réseaux, les Français y voient clair : "Macron prend la démocratie en otage", tweet un internaute, tandis qu'un autre ironise sur un président qui "a perdu trois élections et reste au pouvoir grâce à des coalitions manipulées".Cet acharnement n'est pas gratuit. Macron sait que toute élection anticipée signerait sa perte : avec 81 % des Français appelant à un nouveau Parlement et 67 % réclamant son départ, une vague RN ou une alliance de gauche pourrait balayer son legs. Il préfère donc le pourrissement, nommant des Premiers ministres éphémères – Attal, Bayrou, Lecornu – comme des fusibles destinés à exploser. François Bayrou, dernier survivant potentiel, propose déjà de geler les retraites et de sabrer 5 milliards en santé pour "sauver" 40 milliards : une saignée qui, si elle passe, enflammera les rues le 10 septembre, jour du "Bloquons Tout". Et Macron ? Il parade à l'étranger, embrassant Zelensky et posant pour des sommets inutiles, pendant que la France sombre.
Regardons le tableau en face : sous Macron, la France est une "ombre de ce qu'elle fut". Inflation galopante, insécurité croissante, services publics exsangues – tout y passe. Il a dilapidé 1 350 milliards en cinq ans, creusant un trou de 50 milliards dans le budget sans jamais assumer. Sa "coalition des volontaires" pour l'Ukraine ? Des milliards versés à un gouffre sans fond, au détriment des hôpitaux et des écoles. Et les Français, eux, paient : 67 % veulent sa peau, même les retraités – autrefois un bastion – l'abandonnent avec une chute de 10 points.Cet acharnement à rester n'est pas de la bravoure, mais de la lâcheté. Macron craint la justice post-mandat : affaires Alstom-Rothschild, Benalla, McKinsey... Tant qu'il est au pouvoir, il muselle les enquêtes. Sur X, les théories fusent : "Il est maintenu en place par des forces occultes jusqu'à un remplaçant".
Plus prosaïquement, c'est l'ego d'un homme qui refuse l'échec. Comme l'écrit Le Parisien, "il n'a pas voulu lâcher le manche, il le reprend dans la figure". Au bord du gouffre, Macron marche seul, mais la France entière trébuche derrière lui.
Emmanuel Macron n'est plus un président, mais un squatteur de l'Élysée. Son acharnement à s'accrocher – malgré les motions de censure en série, les grèves et l'effondrement de sa légitimité – transforme la Ve République en farce. Les voisins européens raillent déjà "la gravité de la crise française", et à juste titre : un leader qui refuse de démissionner malgré un Parlement ingouvernable n'est plus un démocrate, mais un autocrate en toc.La solution ? Une élection anticipée, maintenant. Laissez le peuple trancher, Macron. Votre règne est fini, et la France mérite mieux qu'un épilogue en mode zombie. Mais hélas, l'histoire nous enseigne que les tyrans en herbe lâchent prise tard, et toujours dans le chaos. Pour la France, ce sursis est un calvaire : jusqu'en 2027, attendez-vous à plus de dettes, de divisions et de vanité élyséenne. L'acharnement de Macron n'est pas une tragédie grecque ; c'est une comédie de mœurs, où le clown en chef refuse de quitter la scène.